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OCSI : Customer centric, oui, mais surtout staff centric

Née de la rencontre de Yannis Amara et Thomas Leray en 2006, OCSI s’est bâtie autour d’une conviction : celle que non seulement le client doit être au cœur de la stratégie de l’entreprise, mais aussi ses consultants.

12 ans plus tard, l’ESN déploie quelque 130 consultants chez ses clients grands comptes et s’est mis à former soi-même ses ressources.

Evolution et révolutions au fil des ans.

Initialement fondée sur l’idée de mettre à la disposition des clients AS/400 des ressources qui leur permettent de gérer leurs machines dans un contexte de pénurie de compétences, le métier d’OCSI a évolué au cours des années. Aujourd’hui, la société adresse six expertises différentes : l’IBM i, le Waas, Tenor (tests de non-régression), Build-and-Run, le digital et la MOA via une organisation unique qui fait intervenir, en plus des business developpers, des responsables techniques et des ressources managers, dont la mission est de faire le lien entre chaque consultant et le client. Le suivi des consultant est donc au cœur de la stratégie d’OCSI via une organisation en communautés ;

Lire : Automatiser les tests de non régression : le cas concret d'une banque

Lire : Quel est l'intérêt des tests automatisés ?

Lire : Méthodologie des tests 

C’est ainsi que pas moins de 50 clients grands comptes parmi lesquels LVMH, Société Générale ou Natixis  font confiance à OCSI, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 7,2 M€ en 2017 et projette les 10 M€ pour 2018.

Nouvelle corde à l’arc d’OCSI : la pépinière IBM i !

C’est enfoncer une porte ouverte qu’affirmer que les consultants disponibles sur la plateforme IBM i se raréfient. La faute au manque de formations dans les universités sur la technologie propriétaire d’IBM, face aux langages plus modernes de type php et autres java. Alors que la plupart des intégrateurs renoncent à la plateforme, OCSI n’entend pas fermer son département IBM i et saisit cette contrainte pour en faire une opportunité : si les ressources se raréfient sur IBM i, autant former des stagiaires capable de prendre le relais.  C‘est ainsi qu’après quelques mois de réflexion avec IBM i pour co-construire un système capable de produire des formations de qualité, est née la première pépinière IBM i en 2015. Depuis, tous les ans, elle forme deux promotions de 15 personnes : que des têtes bien faites (diplômés Bac+5 minimum) en recherche active d’emploi qui se voient proposer, enfin, une formation et dans la foulée, un job, à la hauteur de leurs ambitions.

Lire : La Pépinière IBM i

Le manque de compétences disponibles sur DevOps ?

Si le problème n’est pas tout à faire le même que pour la pépinière IBM i, car les ressources DevOps existent bel et bien, mais leur disponibilité est bien moindre que celle que la demande exige le résultat est le même : OCSI peine à pouvoir répondre à la demande de ses clients. Et on l’aura compris, ce n’est pas chose acceptable pour ses fondateurs. « Nous avions rodé le concept avec IBM, donc nous avons décidé de mettre en place la pépinière DevOps, exactement sur les mêmes principes. Comme nous savions où nous mettions les pieds, il ne s’est passé que deux mois entre l’idée et la mise en place », explique Thomas Leray, fondateur d’OCSI.

En effet, et après trois mois de formation intense, les premiers élèves de la Pépinière DevOps sortent en octobre 2018, quasiment tous avec une mission en poche.

Lire : La Pépinière DevOps d'OCSI : vers un nouveau creuset d'agilité

Et les consultants ?

Le titre est clair : l’objectif d’OCSI est délivrer à ses clients un service de qualité, ce qui passe, non seulement par des compétences bien formées (c’est pour partie l’objet des Pépinières) mais par une gestion des ressources humaines qui met la qualité de vie au travail et la satisfaction des consultants comme priorité.

Comité de pilotage salarial annuel, GPEC, liens avec le Responsable technique et les autres consultants d’une même communauté et de l’entreprise : même si OCSI grandit, la gestion des potentiels humains se fait au plus près des opérations. C’est qu’un consultant heureux n’a non seulement pas envie de partir mais donne généralement le meilleur de lui-même pour sa mission.

« Nos consultants se plaisent chez OCSI. Au-delà d’une politique RSE et de conditions de travail matérielles que nous estimons propices à l’épanouissement personnel, nous faisons en sorte de garder le lien humain entre les personnes. C’est ainsi que nous avons aussi créé les soirées du jeudi, qui permettent à tous ceux qui sont sur les sites des clients, de se retrouver, s’ils le souhaitent, pour échanger sur leurs expériences. C’est aussi un moyen pour nous de voir si ce qui émane de leur responsable technique est en accord avec la réalité. Les remontées terrain directes sont en effet essentielles pour nous ! » conclut Thomas Leray.

C’est pour toutes ces raisons qu’OCSI peut se targuer d’un turnover inférieur à 10%.*

A propos d’OCSI

Créée en 2006, OCSI est un cabinet de conseil de 130 consultants qui réalisent un chiffre d'affaires de 10M€ en 2018 (7,2 M€ en 2017).
OCSI accompagne ses clients dans la conception, le développement et l'évolution de leur système d'information au travers de six pôles d’expertises : la transition numérique, l'automatisation de tests (Tenor), WaaS, IBMi et build and run.
Depuis son siège parisien, OCSI s'adresse aux PME comme aux grands comptes nationaux. OCSI est aussi le fondateur des pépinières IBMi et DevOps qui forment chaque année depuis 2015 une vingtaine de consultants.

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